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Les écosystèmes naturels ont des capacités d'auto-organisation, d'innovation, de symbiose, de collaboration ou de partage de l'information qui intéressent de plus en plus les entreprises et les organisations humaines afin de trouver leur raison d'être et de pouvoir s'adapter aux changements.
Sacré paradoxe que celui de l’eau. Massivement présente sur Terre, elle pourrait venir à manquer dans certaines régions du globe, car seule une toute petite partie de l’eau est exploitable directement.
Nos pratiques quotidiennes de mobilité ont de réelles conséquences sur l'environnement.
Pour le 5e anniversaire des Objectifs de développement durable (ODD), la fondation Elyx a créé une affiche pour rappeler quels sont les 17 ODD.
Jusqu'à peu, se déplacer faisait partie intégrante de notre vie sociale et professionnelle. À tel point que tout notre environnement est structuré autour des transports. Il suffit de regarder autour de soi : routes, rails, câbles de tramway, pistes cyclables. Tout invite au voyage, qu'il soit court ou long.
S'inspirer du vivant et d'espèces adaptées à des conditions extrêmes pour mieux explorer l'espace et notamment la planète Mars. Le biomimétisme permet de nouvelles approches et de nouvelles technologies qui, une fois expérimentées dans l'espace, pourront nous être utiles sur Terre afin, par exemple, de mieux gérer nos ressources.
Le biomimétisme est la démarche qui consiste à étudier le monde vivant afin de s'inspirer à la fois de son fonctionnement en écosystèmes et des technologies uniques que de nombreux organismes ont développées. Le but est d'apporter des solutions innovantes et durables dans tous les domaines de notre société. A ce titre, le biomimétisme marin représente un vivier pour de nouvelles molécules médicales, de nouveaux matériaux, de nouvelles stratégies.
Swann Périssé s'est lancé un défi : redécorer son studio le plus écologiquement possible et sans surconsommer. Ses mots d’ordre ? La réutilisation et la récupération ! Elle nous donne toutes ses astuces en vidéo.
Pourquoi les poissons attrapent-ils moins de coups de soleil que nous lorsqu'ils nagent à la surface de l'eau ? Quels mécanismes protecteurs ont-ils mis au point ? Et comment s'en inspirer ? La réponse se trouve dans les algues rouges qu'ils consomment et qui produisent des molécules anti-UV. Cette défense naturelle très performante est étudiée au sein de la Chaire MANTA, à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour, pour mettre au point des crèmes solaires sans conséquence pour la santé de l'homme et pour l'environnement.
